2009-08-28

Moi qui pensait ne plus avoir besoin de lui parler...

Je me suis rappelée hier soir qu'elle a encore mes dvds de Radio-Enfer.

J'ai pas le goût de la revoir, de l'entendre brailler qu'elle s'excuse, que c'est pas sa faute, qu'elle fait donc pitié.

Mais j'ai vraiment pas envie qu'elle garde mes dvds.

Maudite marde.

2009-08-27

Je suis cursée.

À chaque fois que je me lie d'amitié avec une des filles du CÉGEP, elle quitte la technique la session d'après.

Louiselle
Christine
Joëlle
Et maintenant, Claudine.

Life sucks.

2009-05-16



















Jammer, tisser, fraterniter

2009-05-13

Je suis sortie samedi soir, pour la fête de ma meilleure amie. Après quelques rhum and coke pris chez Steph, nous partis pour le Encore.

Son chum était parmis nous.

Le chum qui était avec elle il y a quelques années et qui l'a laissée pour retourné avec son ex. Tout le temps qu'il était avec Steph, il couchait avec l'autre et lorsqu'il est retourné avec l'autre, il couchait encore avec Steph. Et il lui a déjà dit qu'il me trouvait de son goût.

Et Steph, elle retourne avec.

Mon esprit de bitch a souvent pensé le cruiser afin de prouver à Steph que ce n'est qu'un trou de cul. Ce n'est pas pour me vanter, mais je pourrais l'avoir dans ma poche n'importe quand. Je n'ai pas eu l'occasion de le faire.

Arrivé au Encore, lorsque nous débarquions de la voiture, il me dit (et je cite mots pour mots, je vous jure que j'invente rien) " s'cuse babe (en s'adressant à SA BLONDE), mais faut que j'y dise." Il me toise de haut en bas et me lance maintenant la célàbre phrase "T'as un criss de beau cul dans c'te paire de jeans-là"

...
...
...

Euh. Tant mieux parceque je les ai payé, genre, BEN chère ?!?

Et Steph, toute innocente à côté, n'a pas l'air de s'en faire avec ça.

J'espère au moins qu'elle lui a donné de la marde en rentrant à maison.

2009-05-06

Je suis sortie avec les filles, samedi dernier.

Les filles ont changés avec le temps. Avant, nous étions 3, dans "les filles". On se rencontrait chez moi avant d'aller clubber, on se saoûlait la gueule avant de sortir. Une fois rendue très très saoûle, nous prenions un taxi et nous allions dans notre repère, où nous continuions à boire. Et on dansait sur du gros boum-boum que je n'aimais pas, mais que l'alcool me faisait aimer. Je me frottais sur des étrangers, lançait des regards langoureux aux jolis garçons de la place en espérant avoir une danse avec eux. À la fin de la soirée, nous allions manger une poutine trop salée, et nous retournions nous coucher chacune de notre côté. Arrivée à la maison, dans mon lit, j'avais la tête qui tournait et regrettait mes consommations prisent plus tôt. Le lendemain, j'étais sur le cul, en me disant que c'était la dernière fois, que plus jamais je ne boirais comme cela. Cela tenait....jusqu'au vendredi prochain. Promesses d'ivrogne.

Maintenant, nous sommes 4, dans "les filles". Nous nous rencontrons toujours, pour boire avant. Mais pas plus que pour être chaude. Nous prenons toujours un taxi pour sortir, mais pas au gros club de boum-boum sale. Nous faisons le tours des bars, cafés, limite-taverne, du Vieux-Hull. Nous buvons de la bière, peut-être 1 ou 2 shooter de fort. Et de la sangria. Juste assez pour être encore capable de danser en talons hauts, et envoyer promener les jolis garçons trop saoûls qui essaient de se frotter sur moi. À la fin de la soirée, nous allons au café mangé des bruschettas ou encore des nachos. Nous rentrons coucher chacune chez sois, à 1 h 30, heureuse. Je me couche dans mon lit, sans mal de coeur et sans regretter ma soirée. Le lendemain matin, je suis debout à 9 h 00, attendant le téléphone des autres pour aller déjeuner au resto.

C'est pas si pire que ça, viellir.

2009-04-28

Lorsque je suis sortie hier pour aller au dépanneur, en camisole, en sandales et le vent chaud dans les cheveux, je me suis sentie comme au mois de janvier, à Lima.

Ohhhhh oui.

J'avais juste envie d'aller faire la sieste sur le toit du bloc appartement.

2009-04-13

Il y a des choses, des personnes que l'on croit éternelles. Moi, il y a des choses et des personnes que je crois éternelles. Comme avoir 20 ans et n'avoir d'autre soucis de savoir dans quel bar nous passerons la fin de semaine.

Comme les grands-mamans.

Lorsque j'ai appris hier que Mamie est partie au ciel au vendredi sain, j'ai eu le coeur gros. Mamie, ce n'était pas ma grand-maman. Mamie était la grand-maman de mes cousines et de mon cousin. Quand j'ai su la nouvelle, j'ai eu le coeur gros et j'ai pensé à Marie-Eve, Sophie et Frédéric qui ont perdu leur grand-maman. J'ai pensé à Denis, qui n'a maintenant plus de maman.

Les mamans aussi, c'est une des choses que je croyais éternelles.

Ne plus avoir de grand-maman, c'est triste. Ne plus avoir de maman, c'est la fin du monde.

J'ai eu le coeur gros. Car apprendre la mort de Mamie, m'a ramener en pleine face que les grands-maman, ce n'est pas éternelle.