2007-03-03

Je ne vais pas bien.

Une idée mongole m'est passé par la tête.

Vraiment, j'aurais jamais pensé pensé à retourner là un jour.

Je crois que si je retourne au CÉGEP en septembre, je retourne travailler au resto du Zellers.

Euh. Tout le temps que j'ai travaillé là (2 ans quand même) je hurlais partout que j'aimais pas mon job.

Mais j'y repense et je crois que c'est le job à temps partiel le moins merdique que j'ai eu.

Le Bentley, j'ai haïs ça pour mourire. J'aime les sacoches, j'en suis une vrai maniaque. J'adore en acheter. J'ai détester en vendre.

Mon job aux Promenades (malgré moi à temps partiel, c'est merdique. Et crissement pas payant. Et....C'EST PLATE ! On me prend pour le botin téléphonique de la ville au grand complet, on me dit des bêtises parceque je n'ai pas le numéro de téléphone du WallMart ou pire, de l'autre centre d'achat dans la ville voisine. J'ai toujours quelqu'un sur mon dos, qui me dit que je fais de quoi de pas correct. Si les certificats-cadeaux ne balancent pas, c'est automatiquement de ma faute, même si on est 3 à en avoir vendu dans la journée. Les clients sont bêtes. Je me fais chialer après par les commercant parcequ'il fait trop chaud ou trop froid et qu'ils perdent des ventes (comme si c'était de ma faute !)

À part de ça, j'ai rien à fouttre ici. Je travaille une heure et on dirait que j'en ai fait quatre.

Le Zellers. C'est une job physique et dure, oui. On m'avait avertie que c'était demandant travailler dans un resto, et c'est vrai. Mais c'est un job debout, qui bouge tout le temps, pas le temps de s'asseoire 5 minutes. Les journées passent vite. Je ne suis pas en contact direct avec les clients. J'aime ça, faire de la bouffe. C'est pas payant, mais je connaîtrait déjà comment ça fonctionne et mes collègues de travail. Je retomberais au bas de l'échelle mais c'est pas grave, on peut pas dire que j'étais bien haute en partant...

Et étrangement, pour moi CÉGEP rime avec Zellers.

Je ne perds d'aller voir mon ancien patron, d'un coup qu'ils auraient besoins de quelqu'un.

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